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MJC Europe de Crépy en valois, 11 février 2012 / Concerts évènementiels 2011 / Théâtre de la Reine Blanche Nov 2010 photos vidéos

 

Voir et Téléchargement : DOSSIER de Concerto en Yaka Majeur

 

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Le spectacle

Solidays, Le Téléthon, Sol en Si, Les Restos du Cœur, autant de causes et de concerts de bienfaisance, avec des vedettes ou des stars “bankables”.
Pour exister malgré cette forte concurrence, le Cirque des Intéressés donne un concert “multi-caritatif” avec choix donné au public et tirage au sort en direct de la cause à défendre.
La forme de ce concert se situe entre un “musicothon” télévisuel et un show de cabaret avec paillettes et rock n’roll. Il est résolument interactif : faire réaliser des économies à son public, voilà le credo du Cirque des Intéressés: un seul concert pour de multiples causes, le “Concerto en Yaka Majeur”.

Le Cirque des Intéressés est constitué de quatre membres. Tout d’abord, Rita et Gérard, les deux énergiques maîtres de cérémonie du concerto, au chant et accessoirement à la guitare. Puis, les musiciens : Yorghi à la guitare aux claviers et à la clarinette, Annabella aux claviers, à la batterie et au bandonéon.
Le décor : une piste circulaire, une estrade et deux portes, symétriquement disposées de part et d’autre. Ce sont comme des cabines d’essayage, des boxes, des isoloirs, en tout cas deux sas par lesquels surgissent et disparaissent les personnages. Avec, au-dessus de l’estrade, une arche décorée d’ampoules électriques. C’est dans ce cabaret de foire que vient résonner le Concerto.


Concerto, œuvre d’utilité publique ?

Le désengagement progressif de l’Etat de la vie publique crée un vide qu’il s’agit de combler. Les associations caritatives y contribuent largement et pour cela forcément nous sollicitent. Il est donc grand temps de rendre hommage à ces modestes héros des temps modernes : nous-mêmes, donneurs universels, nous-mêmes, donneurs de temps et d’argent, parole d’honneur !
Le concerto en Yaka Majeur s’inscrit dans cette démarche, tout à l’écoute des envies du public et tâche de développer une réponse artistique aux interrogations de celui-ci dans l’espoir et la bonne humeur, avec une bonne dose d’humour

décapant et de dérision. Le répertoire des chansons du concerto en yaka majeur se répartit entre créations originales et reprises. Les réponses sont aussi multiples que les causes défendues, et par conséquent les styles musicaux varient et flirtent avec le tango, le rock, le ragtime, la chanson réaliste, le chant polyphonique, le blues et le gospel. La cause est entendue : cause un jour, cause toujours !

 

Extraits de presses :

 

"(...) ce quatuor torpillé de claire ironie et d'imagination joyeusement zarbi amuse ou gronde. On comprend vite que le vrai projet de cette bande de donneurs universels est de poser un regard affûté sur les affidés d'une générosité tous azimuts.(…) Ce revigorant concert de "mieux-faisance" est à l'image de ses auteurs: carrossé, cyclothymique et pailleté, il nous mène en bateau avec un tel culot que l'on consent à en être la victime. (…) Ebouriffant ! " Myriem Hajoui / A Nous Paris - 15 Mars 2010

(…)Enfin, invitons simplement à se laisser emporter par le Concerto en Yaka Majeur qui trouve la juste mesure du persiflage et de la rage pour mettre au piloris les chantres systématiques d’une générosité tous azimuts (on les reconnaîtra…). Paillettes pour lui, punk pour elle, Guillaume Edé et Agnès Sighicelli (quelle voix !) sont les maîtres de cérémonie d’un show, farci de chansons, dont la belle mécanique télévisuelle se grippera pour cause d’égo trop gros ! » Aude Brédy L’Humanité – 24 Août 2009